Mardi 07 juin nous avons eu le plaisir d’avoir dans nos murs le professeur Si Abdellatif Laâbi et Madame Jocelyne Laâbi, deux intellectuels engagés et militants pour le droit et la justice, deux immenses figures de la littérature, de la traduction, de l’art et de la pensée.

M. Laâbi fonde en 1666 la revue Souffles, qui questionne la culture quelle que soit sa forme d’expression, et se penche sur les problèmes sociaux et économiques, et a eu une grande influence sur la formation de l’intelligentsia marocaine de gauche. Son militantisme lui a valu d’être arrêté et torturé, et 8 ans de prison avec comme preuves du complot, l’ensemble des numéros de Souffles. Son œuvre, très riche de plus de 70 œuvres, touche tous les genres littéraires. Il reçoit, entre autres, le prix Goncourt de la poésie en 2009 et en 2011, Le Grand Prix de la Francophonie de l’Académie française.

Nous les remercions chaleureusement d’avoir accepté que deux de nos salles soient baptisées l’une Jocelyne Laâbi et l’autre Souffles. Nous souhaitons ainsi rendre hommage à leur travail, leur engagement et à leur œuvre.

Mardi 07 juin nous avons eu le plaisir d’avoir dans nos murs le professeur Si Abdellatif Laâbi et Madame Jocelyne Laâbi, deux intellectuels engagés et militants pour le droit et la justice, deux immenses figures de la littérature, de la traduction, de l’art et de la pensée.

M. Laâbi fonde en 1666 la revue Souffles, qui questionne la culture quelle que soit sa forme d’expression, et se penche sur les problèmes sociaux et économiques, et a eu une grande influence sur la formation de l’intelligentsia marocaine de gauche. Son militantisme lui a valu d’être arrêté et torturé, et 8 ans de prison avec comme preuves du complot, l’ensemble des numéros de Souffles. Son œuvre, très riche de plus de 70 œuvres, touche tous les genres littéraires. Il reçoit, entre autres, le prix Goncourt de la poésie en 2009 et en 2011, Le Grand Prix de la Francophonie de l’Académie française.

Nous les remercions chaleureusement d’avoir accepté que deux de nos salles soient baptisées l’une Jocelyne Laâbi et l’autre Souffles. Nous souhaitons ainsi rendre hommage à leur travail, leur engagement et à leur œuvre.